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New York, Ville Putain



Annual poutine celebrations occur in Montreal, Quebec City, and Drummondville, as well as Toronto, Ottawa, New Hampshire, and Chicago. It has been called "Canada's national dish", though some[who?] believe this labelling represents cultural appropriation of the Québécois or Quebec's national identity. Many variations on the original recipe are popular, leading some to suggest that poutine has emerged as a new dish classification in its own right, as with sandwiches and dumplings.[1]




New York, Ville Putain



According to Canadian food researcher Sylvain Charlebois, while Warwick is the birthplace of poutine, Drummondville's Jean-Paul Roy is the true inventor since le Roy Jucep was the first to sell poutine with three combined ingredients, in 1964.[11] The Oxford Companion to Cheese takes a different perspective, stating that the inventors were not chefs but the customers who chose to add cheese curds to their fries.[5]


Pour en revenir à New-York, Serge July reprend une phrase du peintre Fernand Léger : "C'est le plus formidable spectacle du monde dans lequel on vit". Le journaliste voit dans cette ville, à la différence de toutes les autres, une métropole "extrême dans tous les domaines". "Tout est démesuré, tout est toujours trop", remarque-t-il. New-York est la ville la plus bruyante du monde, notamment à cause du "métro très ancien, qui roule vite et qui comporte onze wagons". Mais il y a aussi "la réverbération du bruit par les gratte-ciels". Il note qu'au restaurant, il est "impossible de parler avec quelqu'un, tout le monde hurle". Et le bruit ne s'arrête pas la nuit. Quand le métro fait une pause, ce sont les livraisons qui reprennent entre 5 heures et 7 heures du matin. "Les semi-remorques amènent les marchandises aux camionnettes dès 3 heures du matin", rapporte-t-il. "Tout le monde est habitué au bruit".


Autre grande caractéristique de la ville de New-York, c'est la ville comptant le plus de célibataires. "Sur 8 millions d'habitants, il y a 5 millions de célibataires. 3 millions d'homme et 2 millions de femmes. Un point méconnu de la ville mais dont les séries comme "Sex and the city" ou "Friends" reflètent bien. "On ne vient pas faire une famille à New-York, la ville ne le permet pas", souligne Serge July. "On est là pour conquérir le monde, devenir Bob Dylan". Bob Dylan ou Donald Trump, puisque ce que "l'on ne s'imagine pas", c'est que le Président des États-Unis est "le plus New yorkais" de tous. "Il est un champion dans le business de New-York, grâce à l'immobilier, business dominant de la ville", étaye Serge July.


Il s'agit d'un film en noir et blanc dont le scénario s'inspire de la pièce de théâtre de Sartre. L'adaptation au cinéma est réussie. Le film commence dans le train qui mène Lizzie une chanteuse de New York à une petite ville du sud des Etats Unis ou elle a obtenu un contrat dans un night club. Durant le trajet deux blancs ivres l'agressent. Elle se réfugie dans le compartiment réservé aux noirs mais les 2 soûlards la suive et s'attaquent à nouveau à elle. Cela dégénère et l'un des blanc tue un noir. Le témoignage de Lizzie est capital mais il ne convient à personne. Tout le monde voudrait qu'elle mente en disant qu'elle a été violée par les noirs ... Les dialogues sont évidemment excellents, très percutants. Le principal thème est celui du racisme et la condition des noirs mais le texte est riche et aborde de nombreux autres thèmes : la rumeur, la justice, le pouvoir des puissants ... bref c'est très fort ! Lizzie de part son métier, elle est plus entraîneuse que chanteuse, est méprisée mais finalement c'est elle qui se montre la plus respectueuse en refusant de mentir. En visionnant ce film j'ai pensé à une affaire récente ou un homme politique puissant a pu se sortir des problèmes en passant un accord donc en versant de l'argent ... il y a une scène similaire dans le film ... Barbara Laage est parfaite dans le rôle de Lizzie qui ne se laisse pas faire. Bien entendu la principale qualité du film, c'est le texte magistral de Sartre : un classique indémodable, une référence.


L'action se passe dans les années 40 au cœur d'une petite ville du sud des Etats Unis.Lizzie, une prostituée blanche récemment arrivée de New York se trouve projetée dans un drame. Elle a assisté dans le train au meurtre d'un noir par un blanc (Thomas) neveu du sénateur Clarke. Pour sauver l'assassin, Fred, le fils du sénateur, élabore avec ses amis et son père une stratégie perverse afin de convaincre Lizzie de signer une fausse déclaration.La manipulation est en marche !Lizzie, fragilisée par sa vie et son passé, perd pied, se ressaisie puis craque...Une mise en scène très réaliste, dans un décor résolument industriel, des costumes contemporains, une ambiance en noir et blanc pour mettre en évidence l'intemporalité des faits et des divers thèmes abordés : le racisme, la ségrégation, l'exclusion, la soumission, la cruauté humaine, la manipulation, le mépris de la femme.La musique, les sons et les vidéos accentuent l'atmosphère pesante, la tourmente psychologique et la perversité de certains personnages de cette histoire.Le jeu des comédiens souligne la violence morale de la manipulation mentale et physique.


Métro : Rambuteau (ligne 11), Hôtel-de-ville (lignes 1, 11)RER : Châtelet - Les Halles (lignes A, B, D)Bus : arrêt Georges Pompidou (29, 38, 47, 75), Hôtel de Ville (47, 67, 69, 70, 72, 74, 76, 85, 96)Vélib' à proximitéParking(s) à proximité


Y'a un type qui vit (littéralement) sur une pile d'ordures près de mon appartement, et il passe ses journées à agrafer des photocopies de sa gueule dans tout le quartier (voir ci-dessus), et son site web est YouTube.com , et je l'ai googlé, et ses seuls amis au monde sont des pigeons, mais un jour les agents sanitaires de la ville sont venus et ont tué les pigeons et putain, fait chier, je suis encore en train de pleurer comme un gros bébé. :( :(


Cette ville, putain...laide au premier abord, mais ensuite, quand tu te ballades de quartier en quartier en plein coucher du soleil avec vue sur les grattes-ciels de downtown ou sur l'océan, ou encore sur les collines sauvages d'Hollywood il se dégage une telle ambiance , le tout sur un fond de musique funk ou du michael jacksonToute la quintessence de l'immensité des US, le tout dans une tranquillité incroyable.je conseille a quiconque de venir visiter cette ville et san francisco, magnifique pour d'autres raisons encore...Il n'ya pas d'autres villes ou il est si jouissif de rouler sur l'autoroute au coucher du soleil


La ville parait certes laide au premier abord ( immense banlieue a perte de vue ) mais je suis dsl, se balader dans cette ville représente tt ce qui nous fascine sur l'Amérique: son immensité, ses voitures énormes et son ambiance chill. tu vas pas a los angeles pour voir un patrimoine culturel il ya une infinie varieté de paysage dans cette ville: les colinnes au nord, l'océan a l'ouest ( la highway 1 putin ), le downtown que tu vois depuis l'autoroute et le désert a l'est.celui qui fait l'effort de bien se balader dans cette ville vivra quelque chose de jouissif, cette ville est pour ceux qui aime se balader en voiture et sentir la liberté


Le 09 septembre 2016 à 20:29:15 PACESman a écrit :Cette ville, putain...laide au premier abord, mais ensuite, quand tu te ballades de quartier en quartier en plein coucher du soleil avec vue sur les grattes-ciels de downtown ou sur l'océan, ou encore sur les collines sauvages d'Hollywood il se dégage une telle ambiance , le tout sur un fond de musique funk ou du michael jacksonToute la quintessence de l'immensité des US, le tout dans une tranquillité incroyable.je conseille a quiconque de venir visiter cette ville et san francisco, magnifique pour d'autres raisons encore...Il n'ya pas d'autres villes ou il est si jouissif de rouler sur l'autoroute au coucher du soleil 2ff7e9595c


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